Nos modalités contemporaines d’existences reposent sur des systèmes imprégnés de dominations et de formes d'oppression multiples, dans lesquelles le livre est lui-même pris : captation des ressources (bois, forêts…), prépondérance post-coloniale (extraction, soft power…), monocultures de l’esprit, patriarcat, racisme. Ces multiples manières et lieux de dominations sont au cœur même de la réflexion critique de l’association pour l'écologie du livre, aussi bien dans son essence que dans ses combats.